de ce que j'écrit.

i wanted to write a book so....
je voulais écrire un livre donc...




          here is a passage of the book i want to write, i want your opinions, share and comment :)
          voila un passe du livre que je veut écrire, j'aurai besoin de vos avis, partager et commenter :)




On  savourait une de ces soirées par téléphone, dans notre monde confident, qu'aussi tôt on fermé nos yeux dans obscurité nuiteuse on s'y trouvée, réuni, au sein de notre intime sphère noire mais plein de couleurs.
parlant de tout et de rien, de nos désires, de nos rêves d'enfant, et de nos fantasme d'adulte, construisant nos projets d’avenir, discutant de nos plans pour le reste de nos vies, c’était plutôt LE PLAN pour NOTRE VIE.
comme  pour plusieurs fois, j'y mets des heures a narrer, prononcer tous les mots qui me traverse l'esprit en ayant qu'elle, ma bien aimée pour source et bute d’inspiration, mon seul sujet, l'unique idée qui parcoure en moi, je lui raconte, en essayant de décrire, qu'est ce qui m'arrive , qu'est ce que cet amoure me fais vivre et surtout qu'est ce qu'il me fais comprendre...de la vie , de l'amoure, de moi.
je lui dit , répète et insiste, a quel point je l'aime, je retourne vers le tout commencement de c émotions, et vas vers l’achèvement du temps, vers le l’avenir lointaine, des premières et je m'exprime, les repenses pour les comment et les pourquoi,les quand et les combien, je récite comment j’étais ému lors du premiers regards, et la nécessite que c mains pleins de rides doivent prendre les miens , expliquant que même vieux j'aurai encore, beaucoup besoin d'elle, de sa tendresse, de sa présence. comment son sourire devais toujours nourrie mes yeux usé, et comment son rire devais raisonner au recoins de ma maison, partageant paix et bonheur au recoins de mon âme, jusqu’à mon derniers souffle, si je mourrais entre c mains, sa en fera une morte très bien toléré. je pensais vraiment que même atteint d’Alzheimer, même si un jour, j'oublierais qui elle était, je me souviendrait de mon amoure pour elle, c'est dans mes gènes ! je disait.
et elle, ne disait rien, appart quelque mots qui affirmais les faits, et d'autres pour simplement dire , je t'aime !
je lui confié la magie des moments qui a régné lors de notre rencontre, quand soudainement, une conclusion cérébrale, me heurte, mon cerveaux a fais une liaison, une supposition, aussi étrange qu’enchantantte.
- bébé, lors de notre 4éme années au CEM, je suis venu visiter un ami a moi, a tanjaoui, c'est bien le cem que tu fréquenté ?
- oui bébé, pourquoi ?
- alors, sa fait 4 ans, devant l'entrée de ce CEM, moi et mon copain, on eu une retrouvaille, et sur le coin de la rue, une fille attendais la voiture qui devait la ramener chez elle, je ne sait pas pourquoi je retient toujours autant de détail, elle avait une coupe carré, de cheveux chatins lisse , une allure d’ailleurs, elle portais une robe noire, avec des dessins gris, noires et blancs, je pense. nos yeux ne sont même pas fixé, j'ignore la raison, mais cette fille a resté gravé, c’était une robe courte, l'image que j'ai, est un peu abstraite, mais je pense que c’était..
- bébé ! me criait elle, d'un ton ému, les larmes au yeux, je l'ai entre mais mains cette robe, elle était ma préférée, je la serre en ce moments, et je te dit je t'aime, de toute mes forces, je t'aime, plus que tout dans ce monde, je t'aime, mon amoure, mon bébé, je vais la gardais, pour notre fille, elle va la porté, quand c le moment, je lui raconterais comment sur cette robe, tu ma vue de loin, et d'aussi loin tu es tomber amoureux de moi. et qu’âpre 4 ans de cet instant, tu m'avais sur le téléphone au milieux d'une nuit, follement amoureuse de toi !
 je lui raconterais sa comblée, submergé de fierté. le faisant comprendre que un amoure comme celui la, et seulement comme celui la vaudrais la peine, qu'elle devrais pas accepter moins. qu'un tel sentiment doit a tout pris croiser le chemin d'un être humain a un moment donné de sa vie. je t'aime mon amoure, t'es a moi, depuis le début et a jamais tu es a moi.
- je t'aime ! disait je pour ne pas rien dire, j’étais bouche bée, pris par cette intensité, je savais pas quoi faire quoi dire, même quoi penser, mais je savais ce que je ressentais, plus compliqué pour être encadré dans de simples mots, j’appellerais ce moment, un instant divine. je regrette qu'on ne c pas rencontrer depuis nos premiers mois sur cette terre, si ce n'ai déjà pas arriver. je t'aime, le temps raté importe peu, mais pour le reste de ma vie, je suis a toi !

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